Anarelle

"HAAAAAA !"
Le hurlement résonne longtemp dans la grotte
l'homme au sol regarde avec horreur les deux dague qui clouent ses poignet profondement dans la terre

"Pi..pitier..."
L'elfe le regarde, le visage changer, comme un prédateur elle le toise

"pardon ? Pitier ? tsss allons je ne vais pas te tuer, se serais...trops de pitier"
elle trace de large entailles au niveau desjambes de l'humain

"P..pitier laissez moi..."

L'elfe releve la tête les yeux flamboyant de colère
"pitier.. quel superbe mot... dont tu as rie lorsque je l'ai prononcée... il y a 4 ans"

Horrifier l'homme devisage l'elfe... il la reconnais, il verdit, elle devrait ... etre morte, il se souvient, la cabanne avait bruler...
"mais je ne vais pas te tuer, je laisse cela... aux fourmis."

L'elfe fini de tracer le sillons jusqu'a la fourmilliere et part sourde aux hurlement qui s'estompent alors qu'elle approche de l'entrée de la grotte.

[HRP]
Voila un petit début sur Anarelle

2 ans plus tôt
"Doucement, là doucement, un pas apres l'autres..
Voila, marche jusqu'a la chaise deja se sera bien.
Il faut que tu te réhabittue a user de tes jambes doucement.."

Le chemin etait long, elle suivait les instruction sans rien dire, trops d'images devant elle ppour qu'elle puisse parler.. pour l'instant.

3 mois plus tard
le vent jouait dans les cheveux de l'elfe, elle traversait le jardin, enfin elle arrivait a se déplacer jusqu'a la grange.
Un eclat attira son regarde a coter du tas de bois, une hacette qu'elle saisie et souleva.

les cordes vocales vibrerent un insant premieres fois depuis des semaines.
"vengeance..."

les autres la regardait s'entrainer, seule adulte dans un village d'enfants et d'anciens.

la seule a avoir survecue a la razzia et a s'etre echappée.

La seul a attendre un enfant aussi.

"Anarelle ?"
L'ancien guerrier la surveillait, manchot et serieusement bléssé, il ne pouvais guère faire mieux que conseiller les enfants.
"Anarelle, tu ne sais pas te battre, tu n'as jamais réussie a te battre, et tu va acouchée bientôt.
alors, que fait tu ?"

"ce que je fait depuis 5 mois, je m'entraine..."
L'elfe la fixa un instant et renonca, elle etait une survivante, pour son malheur sans doute.

Elle fixe les trois tombe.
La plus grande creséer par les villagoie alors qu'lle etait prisonière loins du village.
La petite a coter, qu'elle a creusé elle meme pour y enterer son enfants ainée.

Et la plus petite, celle ou git maintenant le rejeton de sa captivitée.

L'amertume est une chose, mais elle ne nourrira pas le village.

Elle reprend son arc, certain pirates devront bientôt recevoir sa visite.

L'ancien lui a donné un lieu ou se rendre.

Sombrevallon, là pourra commencer son entrainement, et sa chasse.

Allongée sur le sol elle regarde les étoiles.

Au loin le feu est en train de s’éteindre, les larmes coulent le long de ses joues se mêlant à la terre qui se gorge de son sang.

Tout est fini…consumé, maintenant elle peut s’éteindre, comme le feu du village qu’elle devait défendre… en vain.
Elle est ancienne, si ancienne que sa peau à virée au gris ce soir… elle ressent enfin les effets de son age.

Les étoiles la regardent, les nouvelles qu’elle a créé cette nuit.
Lui pardonneront-elles ?
Elle qui ne les rejoindra plus maintenant, elle qui fini son temps ici, allongé sur le sol nourrissant la terre des plaies qu’elle s’est faite.

Une entaille pour chaques étoiles.

Les étoiles se brouillent, elle revoie maintenant cette funeste nuit.

-------------------------------------------------------------------------------

Elle est revenue tard, les sacs chargés de viande et de cadeaux. Les enfants seront repus ce soir, son village mangera enfin a sa faim.
Elle sourit chemin faisant, une fête sûrement, elle a un festin pour ceux qui l’on soigné et qu’elle protège depuis.

Plus elle s’approche plus elle se sent mal à l’aise. Le silence est trop pesant.
Elle ce stop et scrute le sol, traces de passages humains, trop de personnes sont passer là, le village est en danger.

Le sac tombe au sol, elle se met à courir, vive, discrète, elle sait que déjà il est trop tard mais elle court tout de même.

Le village est intact, silencieux…
Quelques portes arrachées témoignent des violences, des portes cassées, quelques chaises renversées, et au sol, une poupée brisé.

Anarelle s’approche et la ramasse quand un léger gémissement l’alerte.

La grange à été lieu de combat, les anciens se sont retranché là, le maître d’armes n’a hélas rien réussi à sauver, il est crucifié au plafond, viscères à moitiés sorties, il mourra bientôt, dans quelques heures sans doutes.
Un geste vif… la langue arracher, il s’endort sans un bruit.

Une entaille née a la naissance de son bras.

Le chemin est simple à suivre, 30 peut-être 40 hommes, deux carrioles… les pirates, flibustiers ou forbans, elle doit les rattraper avant qu’ils atteignent la plage, avant la grève de Zoran.

« Et la-bas que fera-tu ? » Rieuse la voix de son compagnon mort a toujours le don de posée la question a laquelle elle ne veut pas penser.
« Seule contre 30 quelle plaisanterie, tu vas les rejoindre, en tuer 5 peut être 10 et après ? Te faire tuer, ou pire… tu sais ce qui arrive à ceux qui n’ont pas la chance de mourir avant d’être à eux non ? »

Elle ferme les yeux et repart, oui… elle sait ce qu’elle doit faire…


Une flèche, une entaille….
Elle pleure.

Son carquois est presque vide, par trois fois déjà elle a combattu les gardes avant de s’enfuire, se ne sont pas leur coup qui la font souffrir pourtant.

Le village est maintenant vide, sans raison d’être.

La torche enflamme la grange et les maisons.
Elle croise son reflet dans une falque d’eau.

La peau autrefois blanche a viré au gris, elle se sent si fatiguée, si ancienne et déplacée.

L’arbalète et les armures vont rejoindre les flammes et elle s’allonge sur le sol pour regarder ces lumières qui sont nées quand les pointes de métal ont arrêtés les cœurs.

« Pardonnez-moi… »
Elle ferme les yeux attendant la fin…

Allongée sur le sol elle regarde les étoiles.

Au loin le feu est en train de s’éteindre, les larmes coulent le long de ses joues se mêlant à la terre qui se gorge de son sang.

Tout est fini…consumé, maintenant elle peut s’éteindre, comme le feu du village qu’elle devait défendre… en vain.
Elle est ancienne, si ancienne que sa peau à virée au gris ce soir… elle ressent enfin les effets de son age.

Les étoiles la regardent, les nouvelles qu’elle a créé cette nuit.
Lui pardonneront-elles ?
Elle qui ne les rejoindra plus maintenant, elle qui fini son temps ici, allongé sur le sol nourrissant la terre des plaies qu’elle s’est faite.

Une entaille pour chaques étoiles.

Les étoiles se brouillent, elle revoie maintenant cette funeste nuit.

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Elle est revenue tard, les sacs chargés de viande et de cadeaux. Les enfants seront repus ce soir, son village mangera enfin a sa faim.
Elle sourit chemin faisant, une fête sûrement, elle a un festin pour ceux qui l’on soigné et qu’elle protège depuis.

Plus elle s’approche plus elle se sent mal à l’aise. Le silence est trop pesant.
Elle ce stop et scrute le sol, traces de passages humains, trop de personnes sont passer là, le village est en danger.

Le sac tombe au sol, elle se met à courir, vive, discrète, elle sait que déjà il est trop tard mais elle court tout de même.

Le village est intact, silencieux…
Quelques portes arrachées témoignent des violences, des portes cassées, quelques chaises renversées, et au sol, une poupée brisé.

Anarelle s’approche et la ramasse quand un léger gémissement l’alerte.

La grange à été lieu de combat, les anciens se sont retranché là, le maître d’armes n’a hélas rien réussi à sauver, il est crucifié au plafond, viscères à moitiés sorties, il mourra bientôt, dans quelques heures sans doutes.
Un geste vif… la langue arracher, il s’endort sans un bruit.

Une entaille née a la naissance de son bras.

Le chemin est simple à suivre, 30 peut-être 40 hommes, deux carrioles… les pirates, flibustiers ou forbans, elle doit les rattraper avant qu’ils atteignent la plage, avant la grève de Zoran.

« Et la-bas que fera-tu ? » Rieuse la voix de son compagnon mort a toujours le don de posée la question a laquelle elle ne veut pas penser.
« Seule contre 30 quelle plaisanterie, tu vas les rejoindre, en tuer 5 peut être 10 et après ? Te faire tuer, ou pire… tu sais ce qui arrive à ceux qui n’ont pas la chance de mourir avant d’être à eux non ? »

Elle ferme les yeux et repart, oui… elle sait ce qu’elle doit faire…


Une flèche, une entaille….
Elle pleure.

Son carquois est presque vide, par trois fois déjà elle a combattu les gardes avant de s’enfuire, se ne sont pas leur coup qui la font souffrir pourtant.

Le village est maintenant vide, sans raison d’être.

La torche enflamme la grange et les maisons.
Elle croise son reflet dans une falque d’eau.

La peau autrefois blanche a viré au gris, elle se sent si fatiguée, si ancienne et déplacée.

L’arbalète et les armures vont rejoindre les flammes et elle s’allonge sur le sol pour regarder ces lumières qui sont nées quand les pointes de métal ont arrêtés les cœurs.

« Pardonnez-moi… »
Elle ferme les yeux attendant la fin…