Fin de chapitre

Le soleil se lève doucement sur la colline, rependant sa couleur miel dans la grande pièce.
Elle y a passer la nuit, étrange de revenir ici, après ce temps, et sans réelle raison.

Vêtue d’une simple robe blanche et d’une capeline à capuche elle évolue entre les objets exposer.
Un musée étrange des combats passer.

Elle s’arrête devant un brin d’herbe souvenir de sa première journée dans le vallon de Teldrassil c’est ici que le volume à commencer.

Elle porte la mains à sa joue se souvenant de la fraîcheur de l’herbe emplie de rosée sur sa peau.
Elle vas de vitrines en vitrines doucement chaque objets lui rappelant les souvenirs, pourtant pas si lointains.
Une veste bleu, puis son regard se porte sur une veste de cuir tellement usée que le nom de son artisan est effacé.
Un sourire se dessine sur ses lèvres, nul besoin que les lettre derrière le M soient présentent pour qu’elle se remémore chaque détaille de son visage balayé par le vent à Auberdine.

Un peu plus loin des gants sombre à coter d’une pointe de flèche souvenir d’une noble personne sous une apparence brute comme le roc.
Elle joue doucement avec le perroquet sa bouche s’entrouvrant légèrement alors qu’elle se souviens la demande de Takaris dans les jardin de hurelvent.

Le tabard avec un insigne du Covenant, sigle de son accession aux poste dans l’ombre de la guilde.
A nouveau elle n’a pas le courage de chasser les traces de sables de Désolace coller dessus, souvenir de combat avec un guerrier qui partit peu de temps plus tard.

L’épée qui trône à la vitrine suivante porte encore les marques des combat mener a coter de son parrain. Filou coureur de jupons quand il n‘est pas l’assassin au regard froid.

Elle avance entouré de souvenir, bijoux obtenus au prix d’amère victoires, robe de souvenir heureux, cadeau de départs laissant perler une larme a ses yeux jusqu'à la dague.

Elle est fichée dans le piédestal, solitaire a cet endroit de la pièce, cassure aussi visible dans les souvenir de sa vie que le soleil qui a chassé les restent de brume.

La tête de loup s’y trouve encore, bien que usée par le temps, les batailles et le feu.
Elle avance lentement maintenant, robe glissante a la manière d’un fantôme sur les dalles de porcelaine.

Deux ensemble là, entiers, elle passe sa mains sur la tenue glacial du tueur de mort-vivant, trophées bleutés de givre arraché à l’envahisseur tomber de Naxxramass, le givre est a jamais présent sur la fourrure qui renforce les trois pièces.
Et en face, l’armure arrachée aux flammes du magma et aux dragon du pic, haut symbole a l’époque d’une réussite fulgurante.
Oui c’est la-bas entourée de lave qu’elle avait décider de combattre encore et encore, a coter de ses amis, pour que tous accèdent a la victoire.

Elle passe un long moment a caresser le cuir rouge et noir griffé et brûlés qu’elle a portée comme une seconde peau tant de fois.

Enfin son regard s’arrête sur le tabard de l’aube d’argent, sigle de son statut de protecteur combattante devant la porte de ténèbres pour bloquer l’invasion des démons de l’Outreterre.

Elle suis l’étoile de la pointe des doigts, matérialisation de la perte de ses compagnons et d’une meute.

Un instant ses yeux se voile et se ferment ici se trouve la fin d’un chapitre.

Puis elle lève les yeux sur le loup de cuir accrocher au mur a coter de son chapeau.
Devant comme des tableaux vivant, s’alignent les nouvelles victoires de ses nouveaux compagnons.
La commissure de ses lèvres s’étire en un doux sourire

Une livre c’est fermé, mais un nouveau s’écrit.